Die griewe van Algerynse historici oor die vryheidsoorlog

Die griewe van Algerynse historici oor die vryheidsoorlog

Le président Emmanuel Macron, avec son homologue algérien, Abdelmadjid Tebboune, le 25 août, à Alger. LUDOVIC MARIN/AFP

DÉCRYPTAGE – Ces chercheurs jugent bienvenue la coopération franco-algérienne mais se méfient de ses limites.

À Alger

«Je comprends les réserves des historiens français sur la création d’une telle commission. Mais en tant qu’historien algérien, je vois les choses autrement. En Algérie, nous avons d’autres attentes, d’autres enjeux.» À Oran, dans l’ouest de l’Algérie, où se trouve le Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc), Amar Mohand-Amer, fait partie des historiens algériens qui ont favorablement accueilli le projet de commission mixte franco-algérienne chargée de travailler sur les archives de la période coloniale et de la guerre d’indépendance.

Ses contours ont été dessinés dans la déclaration d’Alger, lors de la visite d’Emmanuel Macron à Alger fin août: le groupe, composé de douze historiens, devra «aborder toutes les questions»: de l’ouverture et de la restitution des archives aux essais nucléaires en passant par la restitution des biens et des restes mortuaires des résistants algériens.

L’idée a immédiatement suscité la controverse du côté des historiens…

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Hierdie artikel het eerste verskyn op https://www.lefigaro.fr/international/les-doleances-des-historiens-algeriens-sur-la-guerre-d-independance-20221225


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